mercredi 11 mai 2011

En Suède, la Région Västra Götaland améliore la connexion de la communauté grâce à GE Healthcare

La Région Västra Götaland (VGR), en Suède a mis en place le service TI de GE Healthcare, notamment la plateforme eHealth Image Exchange et Centricity* Enterprise Archive. Cet accès étendu permet à un plus grand nombre de patients d'obtenir la contribution de spécialistes éloignés et permet à leurs équipes soignantes de demander des deuxièmes avis en toute transparence.

Au service de la région depuis 2006, la solution BFR (Bild och funktionsregister) du service TI de GE Healthcare prend en charge de multiples systèmes de communication et d'archivage des images (PACS) et systèmes d'information radiologique (RIS) de différentes sociétés concurrentielles. Le travail GE avec VGR témoigne de l'engagement de la société envers « l'imagination-santé », qui développe des innovations de santé axées sur la réduction des coûts, ainsi que l'amélioration de l'accès et de la qualité partout dans le monde.
Grâce à la plateforme bidirectionnelle eHealth Image Exchange, GE intègre désormais les normes de l'industrie dans l'architecture de VGR. Les services de registre et dépôt de données (DRR) de GE utilisent le profil standard XDS développé par l'initiative Integrating the Healthcare Enterprise (Intégration des entreprises de soins de santé, IHE). Les membres autorisés d'équipes soignantes peuvent accéder aux données des patients stockées dans le dépôt par l'intermédiaire de n'importe quel système de distributeur prenant en charge le standard XDS, ce qui facilite l'accès pour les médecins et renforce la collaboration clinique.
« L'une des raisons pour lesquelles nous avons choisi GE pour nous développer est la plateforme flexible et basée sur les normes eHealth Image Exchange. Pour fournir les meilleurs soins possibles aujourd'hui et à l'avenir, nous avons besoin d'une plateforme robuste et d'une organisation telle que GE, axée sur l'innovation et la nouvelle technologie », a déclaré Lars Lindsköld, lepropriétaire du système BFR.
L'expansion du contrat de GE prévoit également l'introduction de l'application de gestion du cycle de vie des informations (ILM) Centricity Enterprise Archive. L'ILM permet à VGR de mettre en place un processus d'archivage standard à travers les 17 hôpitaux, en lui permettant ainsi de faire un usage plus rentable du « stockage en nuage » du service. Cette gestion centralisée assure un contrôle en une étape de variables telles que la période de stockage, le ratio de compression des images et la gestion du stockage à plusieurs niveaux.

More : http://bourse.lci.fr/bourse-en-ligne.hts?urlAction=bourse-en-ligne.hts&idnews=BNW110510_00006263&numligne=0&date=110510

SSI dans les établissements de santé

Une meilleure fiabilité du "panel technologique", dont les logiciels sont une composante essentielle, permettra aux établissements de santé de se focaliser sur la gestion des risques informatiques.

En la matière, la menace d’une cyber-attaque ne concerne que quelques sites aux compétences bien spécifiques, tandis que l’inattention, voire la malveillance, sont des périls bien plus fréquents. On ne luttera pas contre des cyber-terroristes si l’on n’assure pas le fonctionnement normal du SI, c’est-à-dire sa disponibilité permanente.

Les dirigeants d’établissements restent cependant chargés de "mettre en place une organisation" interne reposant sur une politique de SSI et une "charte opposable" aux utilisateurs.

Comme les hôpitaux, les éditeurs seront invités à s’inspirer des normes de la suite ISO 27000, relative aux systèmes de managements de la sécurité de l’information. "Il faut évidemment s’occuper des spécificités du monde de la santé, mais le tronc commun, c’est l’ISO", a-t-il affirmé.

Ce "standard reconnu, qui permet l’échange de données avec l’extérieur" sera particulièrement utile pour faire face à la multiplication des appareils communicants en milieu hospitalier et au besoin croissant de "liaisons avec la médecine de ville et les soins ambulatoires".

La politique générale de sécurité des SI de santé sera publiée par l’Asip santé en 2011.

Source : http://www.ticsante.com/show.php?page=story&id=930&story=930

lundi 9 mai 2011

Cluster TIC Santé aquitain

"Le lancement officiel du 'Cluster TIC Santé aquitain' a eu lieu le jeudi 7 avril 2011", rapporte le conseil régional d’Aquitaine sur son site Internet. Ce groupement a pour objectif "de structurer, organiser et développer une filière économique" déjà fortement implantée dans cette région, qui concentre près de la moitié des emplois et du chiffre d’affaires du secteur en France.

Les statuts de l’association "Cluster TIC Santé aquitain", que TICsanté a consulté, en désignent les cinq membres fondateurs: le conseil régional d’Aquitaine, l’institut national de recherche en informatique et en automatique (INRIA), l’université de Bordeaux (qui regroupe quatre établissements d’enseignement supérieur) et les entreprises Agfa Healthcare Enterprise Solutions et McKesson Information Solutions France, respectivement basées à Artigues-près-Bordeaux et Canéjan (Gironde).

Les membres de l’association sont répartis en quatre collèges: entreprise, recherche-formation, utilisateurs, institutionnels. Le conseil d’administration est composé de représentants de chaque collège.

Ce conseil élira un bureau de dirigeants pour trois ans lors de la première assemblée générale du "Cluster TIC Santé aquitain", prévue au mois de juin 2011, indiquent Hervé Dufau et Jean-Yves Elie, responsables des domaines "TIC et services aux entreprises" et "technologies médicales" au sein de l’agence régionale de l’innovation Innovalis Aquitaine, contactés par TICsanté.

Pour l’heure, un "appel à adhésions" est diffusé afin de recueillir le plus d’inscriptions possible. "On essaye de regrouper l’ensemble des acteurs dans les domaines de l’informatique de santé et des dispositifs médicaux communicants", expliquent-ils.

Une quarantaine d’éditeurs de logiciels et une trentaine de fabricants de matériels sont ainsi susceptibles de rejoindre le groupement, estiment-ils. Les sociétés de services en ingénierie informatique (SSII) et les cabinets de conseil sont également conviés, de même que les établissements et les professionnels de santé.

Le "Cluster TIC Santé aquitain" soutient d’ores et déjà une première coopération industrielle réunisant Agfa, McKesson, Cegedim Logiciels Médicaux France, Imagine Editions et le groupement de coopération sanitaire (GCS) Télésanté Aquitaine.

Source : http://www.ticsante.com/show.php?page=story&id=924&story=924

GCS Télésanté Midi-Pyrénées

 Le GCS Télésanté Midi-Pyrénées sera, dans un premier temps, focalisée sur quatre priorités. En premier lieu, il accompagnera les déploiements du dossier médical personnel (DMP) et du dossier communicant en cancérologie (DCC). Il veillera aussi à la mise en œuvre de la permanence des soins en téléradiologie à l'échelle d'un territoire, avec des sites pilotes dans les Hautes-Pyrénées et le Gers.

Par ailleurs, il encouragera l’usage de la télémédecine dans le cadre du premier recours, de la médecine de proximité et dans le secteur médico-social, en particulier par l’équipement des maisons de santé pluridisciplinaires et leur mise en réseau avec l'hôpital pivot du territoire.

Enfin, le GCS développera d’autres services répondant aux besoins de ses membres, comme une messagerie sécurisée, un annuaire électronique, un outil de web-conférence ou un système mutualisé de gestion et d'archivage de l'imagerie médicale (PACS).

La direction du GCS Télésanté Midi-Pyrénées a été confiée au Dr Monique Salvodelli, chef du service de télémédecine du CHU de Toulouse (Haute-Garonne). Le Pr Louis Lareng, qui avait déjà participé à la création du GIP RTeS@, a été nommé administrateur de ce groupement.

Le Pr Lareng interviendra au congrès HIT lors d’une table ronde intitulée "Quelle place pour la télémédecine dans l’offre de soins ?" et animée par TICsanté, le 19 mai 2011 à Paris.

Source : http://www.ticsante.com/show.php?page=story&id=925&story=925

lundi 2 mai 2011

L'eHealth Week 2011 : Les technologies de l'information, remède aux coûts de santé croissants en Europe

Face au vieillissement démographique, au développement de traitements sophistiqués mais coûteux, et à une population bien informée et de plus en plus exigeante, les technologies de l'information apparaissent comme la pierre angulaire d'un système de santé durable et de haut niveau en Europe . À l'occasion de l'eHealth Week 2011, le rassemblement annuel des communautés européennes de l'e-santé, les intervenants mettront l'accent sur la façon dont les solutions informatiques peuvent aider les systèmes de santé du Continent Européen à relever les défis qui l'attendent. << Les systèmes de santé actuels ne sont tout simplement pas viables face aux changements démographiques et à la vague attendue de maladies chroniques >>, affirme Jeremy Bonfini , Vice-Président Exécutif des Services Mondiaux de HIMSS. << Nous avons besoin de systèmes informatiques qui permettent aux professionnels de santé de consacrer plus de temps à soigner les patients, et moins de temps à s'occuper de la paperasserie et à courir derrière une bureaucratie lente et inefficace. >>
Plus de 30 % des Européens seront âgés de 65 ans ou plus en 2025. Les maladies chroniques telles que le diabète vont sans doute doubler, voire même tripler dans les 20 prochaines années, ce qui se traduira à terme par une pénurie de spécialistes et de personnel soignant. Aujourd'hui, déjà, on estime que les coûts de personnel représentent 50 à 70 % des dépenses de santé. D'après les données du gouvernement espagnol, les systèmes de santé actuels obligent les professionnels à consacrer de 30 à 50 % de leur temps à des tâches administratives plutôt qu'à soigner les patients.
Les dépenses de santé augmentent plus vite que l'économie
Aujourd'hui, la France consacre 11 % de son PIB à la santé, l'Allemagne 10,6% et la Belgique 10,3%. Pour la plupart des pays européens, la santé représente le plus gros pourcentage de l'augmentation du budget en termes de dépenses.
Selon l'Organisation de Coopération et de Développement Économique (OCDE), l'état actuel des systèmes de santé européens, qui font face à des défis multiples, va entraîner une augmentation des dépenses supérieure à la croissance économique. D'après les analystes de l'OECD, de nombreux gouvernements seront amenés à faire des choix difficiles pour assurer la survie de leurs systèmes de santé : freiner la hausse des dépenses publiques de santé, réduire les dépenses dans d'autres domaines, ou encore augmenter les impôts.
Aux Pays-Bas, les assureurs de santé et le Bureau d'Analyse des Politiques Publiques ont annoncé que la prime d'assurance de santé annuelle augmenterait de 300 euros par personne sur les quatre prochaines années, afin d'amortir la hausse des coûts de santé. En effet, ceux-ci devraient augmenter de 4 % par an, tandis que l'économie ne devrait croître que de 1,25 % par an.
<< Nos systèmes de santé s'effondreront à coup sûr si nous ne faisons pas des changements radicaux >>, avertit Neelie Kroes , Vice-Présidente de la Commission européenne en charge de la stratégie numérique. << En ces temps d'austérité budgétaire et de déficits croissants, il est souvent plus efficace de dépenser intelligemment que de réduire les coûts >>, poursuit-elle.
L'élite de l'e-santé européenne montre la voie à suivre
D'après une étude de cas menée par le Groupe Hospitalier Asklepios en Allemagne, les coûts annuels par patient peuvent être réduits de 36,7 % par l'utilisation de solutions d'e-santé. Le responsable des services informatiques d'Asklepios, Uwe Pöttgen, sera l'un des principaux intervenants à l'eHealth Week 2011 à Budapest (10-12 mai 2011). Le professeur français Eric Lepage qui dirige l'évolution du système d'information patient pour l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris ( http://www.aphp.fr/ ) (AP-HP), fera part de son expérience de la modernisation du système d'information hospitalier, qui a concerné 72 000 professionnels de la santé dans 37 hôpitaux parisiens.
L'eHealth Week s'est imposée comme la seule véritable plateforme pan-européenne dans le domaine de l'e-santé. Ainsi, l'Allemagne sera représentée par dix intervenants, la Suède par sept, le Danemark et le Royaume-Uni par six chacun. Des délégations de pays issus de l'ensemble des États Membres de l'UE enverront des responsables politiques à la Conférence Ministérielle sur l'e-santé, qui, pour la première fois, ouvre ses portes à tous les conférenciers de l'eHealth Week. Des intervenants provenant des quatre coins de l' Europe ont d'ores et déjà confirmé leur participation, avec les pays scandinaves en tête.  Les inscriptions sont ouvertes sur http://www.ehealthweek.org .

Source : http://www.gamepro.fr/2011/04/12/communique/l-ehealth-week-2011-technologies-information-remede-couts-sante-croissants-europe/689733/

HTML5 DICOM viewer

Infomedica, provider of integrated RIS/PACS solutions in Croatia and region, is anouncing first HTML5 DICOM viewer beta release.
  

HTML5 DICOM concept

  
Infomedica, provider of integrated RIS/PACS solutions in Croatia and region, is anouncing concept of plugin-less DICOM web viewer.
  

1.     Introduction

  
World of RIS and PACS has, already for more then 10 years, been enriched with web browser access to RIS data and PACS images. After all, RIS/PACS systems are still advertised as „web access from anywhere“ systems. While web access to RIS data was not an issuse, access to PACS images was always playground of different technological approaches and interesting ideas. The reason was 16 bit-ness of DICOM images from PACS archives.
Namely, web browser are not capable of displaying 16 bit gray images (65536 gray values), but only 8 bit gray images (256 gray values), because of graphical hardware limitations. Therefore, well known transformation of 16 bit gray images to 8 bit gray images had to be taken into account – windowing/leveling.
Vendors have taken advantage of different technologies (Java from Sun, ActiveX and Silverlight from Microsoft, Flash from Adobe) to achieve PACS workstation usability in web browser. We call such concepts „plugin concepts“, because web browser has to download DICOM viewer plugin and run it inside web browser.
We want to propose real „plugin-less“ concept where image rendering and windowing/levelling is done directly in browser without downloading anything except HTML code. We achieved that by using advanced features of the new HTML5 standard. Idea is to have access to PACS anywhere, anytime from web browser.
  

2.     HTML5

  
HTML stands for „HyperText Markup Language“ which is used to display content on web pages. It is devloped by World Wide Web Consortium (W3C). HTML is currently in 4.01 version. Next release of HTML standard will be HTML5 standard. HTML5 brings some interesting new features which developers round the world have already recognized as a new platform for software development. Among different new features we will consider here only those that we have used to build „plugin less“ DICOM web viewer:
  
·        Canvas element – the new tag in HTML5 standard which is used for immediate 2D drawing with related Canvas 2D API
·        Web workers – new API which provide means to run scripts in web browser background thread (multithreading Javascript)
·        Offline storage and Web SQL – new API for storing data in web browser for offline use
·        Drag and drop functionality for intuitive user interface
  

3.     Concept

  
During february 2010 we have sucesfully displayed first DICOM image in browser. In the next few days we have already had full windowing/levelling. We continued with development of new software and here we can present concept.
  
  





Image 1. Concept of DICOM web viewer
  
Server side
  
First of all, we need PACS archive which supports C-GET or C-MOVE of DICOM images. Second item on server side is web server application, which is basically WADO (Web Access to DICOM Persistent Objects) server, but slightly customized for this demonstration. WADO server loads images from PACS and sends them over the network to web browser. It is important to notice that WADO server sends 16 bit DICOM data over the network.
  
Web browser (client side)
  
When user logs to web PACS interface and selects image serie for loading, web application starts loading images from PACS and transferring them to browser. One of the first thing we wanted to achieve after windowing/levelling is asynchrounous image loading. Usually, if one wants to perform parallel activites in web browser, one must use unhandy Javascript timers. HTML5, like we already noticed, brought to us „Web workers“, therefore user can work on images while they are loading from network. DICOM module is javascript engine that transforms 16 bit DICOM image to 8 bit – performing window/level.
  
Testing
  
System was tested in major browsers: Firefox, Chrome, Opera, Safari and Safari mobile for iPad, and on wide range of computer configurations. We still wait for official release of Internet Explorer 9. Window/level transformation performance was measured. One W/L change was measured in miliseconds. After few optimization techniques we get next results:
  
Image 2. Window/level performance in different browsers (miliseconds)
  
As we can see Google Chrome is definitely fastest browser, but all other browsers provide fluent interaction as well. Our testing computer was Windows XP Intel Pentium Core2Duo 2.13 GHz with 2GB RAM for Chrome, Firefox and Opera. For Safari we used Mac Leopard 10.5.8 Mac Pro 2 x 2.8 GHz Quad Core Intel Xeon with 2GB RAM. Just for fun we tested system on old HP laptop with Windows XP and Intel Pentium M 1.60 GHz and 512 RAM – we got 30ms for W/L on Chrome and system worked really fluent.
  

4.     Demonstrations

  
In this section we will show proof-of-concept videos.

Google Chrome and Mozilla Firefox video:






  
  

5.     Future

  
First release
  
First HTML5 viewer release is scheduled for the end of 2010 or sooner. We expect to have both integrated and stand-alone viewer. We would like to bring stable and fast web viewer, which runs seamesly on all browsers.
  
Tablets
  
Our focus is on tablet market too. We see tablets as important devices in healtcare, especially in radiology field. There, we see potential for our HTML5 DICOM viewer. At this moment we have adopted our HTML5 viewer for Webkit based browsers (Android and iPad tablets).
  
Offline storage
  
Already mentioned new feature of HTML5 standard will help developers to build web applications that hold downloaded data even when users are offline. We will include this feature in our concept, so that viewer holds session data (images) for the offline use.
  

Source : http://www.infomedica.hr/html5/