dimanche 29 novembre 2009

EMC s’engage sur la certification MoReq2 d’EMC Documentum Records Manager


Cette certification permettra aux clients de satisfaire aux exigences de l’Union européenne en matière de gouvernance et de conformité des archives numériques
EMC® Corporation (NYSE: EMC), le leader mondial des solutions d’infrastructure d’information, a annoncé aujourd’hui son engagement à obtenir la certification MoReq2 de sa solution EMC Documentum Records Manager. La disponibilité d’une solution EMC conforme à la norme d’archivage électronique européenne MoReq2 aidera les entreprises européennes et les multinationales opérant en Europe à satisfaire aux exigences de gouvernance et de conformité des informations les plus contraignantes. EMC prévoit d’engager le processus de certification MoReq2 l’année prochaine.
MoReq2 est la deuxième version du Modèle d’exigences pour l’organisation de l’archivage électronique (Model Requirements for the management of electronic records). Publiée en mars 2008, cette version se focalise principalement sur les spécifications fonctionnelles des systèmes de d’archivage électronique (ou ERMS pour Electronic Records Management System) utilisés au sein de l’Union européenne.
« Comptant parmi les principaux fournisseurs de solutions de Records Management et en tant que membre du comité éditorial de MoReq2, EMC a apporté une précieuse contribution en veillant à ce que la spécification réponde aux besoins de la communauté d’utilisateurs la plus large possible », explique Jeff Bettencourt, Vice President et General Manager du groupe Produits de gouvernance des informations de la Division Gestion de contenu & Archivage d’EMC. « Cette annonce atteste la volonté d’EMC d’aider ses clients européens à aligner leurs organisations sur les exigences de conformité réglementaire, les normes et les meilleures pratiques dans le domaine de l’archivage électronique. EMC veut ainsi leur donner les moyens d’appliquer des principes de bonne gouvernance aux volumes croissants d’informations qu’ils gèrent. »
Les solutions de gouvernance et de conformité EMC pour la gestion de l’archivage électronique permettent aux entreprises de contrôler la totalité du cycle de vies des « records » (informations et documents électroniques de référence ou ayant valeur de preuve) – création, conservation sécurisée, accès et destruction – grâce à des ensembles de règles appliquées automatiquement par les systèmes. Ces solutions incluent : EMC Documentum Retention Policy Services, EMC Records Manager, EMC Documentum Physical Records Services et EMC Documentum Federated Records Services. Leur architecture modulaire permet aux clients de déployer uniquement les fonctionnalités dont ils ont besoin.
Retention Policy Services permet aux clients de déployer des politiques de rétention et d’élimination complètement transparentes pour les utilisateurs. Avec Records Manager, ils peuvent mettre en place un dispositif formel de création et de gestion de records. Physical Records Services étend la solution à la gestion des archives sur papier, microfilms et autres supports physiques, en plus des contenus électroniques. Federated Records Services permet d’étendre les fonctionnalités de rétention à des référentiels supplémentaires – Documentum et systèmes tiers – pour disposer d’un système de Records Management unifié couvrant tous les contenus, quels que soient leur localisation et leur systèmes d’origine.
Records Manager est certifié conforme à plusieurs normes américaines et australiennes ainsi qu’aux principes directeurs de normes internationales telles que la norme ISO 15489. Dans le rapport “The Forrester Wave: Records Management, Q2 2009” , Records Manager est classé parmi les leaders du marché des solutions de Records Management. La solution s’est également vu attribuer la note la plus élevée (“Strong Positive”) dans le rapport “Marketscope for Records Management” de Gartner.

samedi 28 novembre 2009

Do you know Google BIGTABLE?


BigTable development began in 2004 and is now used by a number of Google applications, such as MapReduce, which is often used for generating and modifying data stored in BigTable[2]Google Reader,[3] Google Maps,[4] Google Book Search, "My Search History", Google EarthBlogger.comGoogle Code hosting, Orkut[4], and YouTube[5]. Google's reasons for developing its own database include scalability, and better control of performance characteristics.[6]
BigTable is a fast and extremely large-scale DBMS. However, it departs from the typical convention of a fixed number of columns, instead described by the authors as "a sparse, distributed multi-dimensional sorted map", sharing characteristics of both row-oriented and column-oriented databases. BigTable is designed to scale into the petabyte range across "hundreds or thousands of machines, and to make it easy to add more machines [to] the system and automatically start taking advantage of those resources without any reconfiguration".[7]
Each table has multiple dimensions (one of which is a field for time, allowing versioning). Tables are optimized for GFS by being split into multiple tablets - segments of the table as split along a row chosen such that the tablet will be ~200 megabytes in size. When sizes threaten to grow beyond a specified limit, the tablets are compressed using the algorithm BMDiff[8] (referenced in [9]) and the secret algorithm Zippy[10], which is described as less space-optimal variation of LZO but more efficient in terms of computing time. The locations in the GFS of tablets are recorded as database entries in multiple special tablets, which are called "META1" tablets. META1 tablets are found by querying the single "META0" tablet, which typically has a machine to itself since it is often queried by clients as to the location of the "META1" tablet which itself has the answer to the question of where the actual data is located. Like GFS's master server, the META0 server is not generally a bottleneck since the processor time and bandwidth necessary to discover and transmit META1 locations is minimal and clients aggressively cache locations to minimize queries.

vendredi 27 novembre 2009

Marchés publics : La directive Recours


C'est le 1er décembre prochain qu'entrera en vigueur l'ordonnance 2009-515 relative aux procédures de recours applicables aux contrats de la commande publique, ordonnance qui transpose la directive Recours 2007/66 du 11 décembre 2007. En attendant la publication, dans les prochains jours, du décret d'application, l'Apasp organisait, le 17 novembre 2009, une journée d'étude intitulée "Les nouveaux risques contentieux et la transposition de la directive Recours". Une dizaine d'intervenants ont tenté de répondre aux questions concrètes posées par les deux innovations majeures introduites par l'ordonnance : l'effet suspensif du recours précontractuel (qui empêche la signature jusqu'à la notification de la décision juridictionnelle) et la création du recours contractuel.

Une exigence de transparence accrue
Pour faire face aux bouleversements qu'introduit la directive Recours, les acheteurs publics devront nécessairement améliorer la transparence dans leurs procédures. Ainsi, la publication de l'avis d'attribution permet de réduire le délai de recours en référé contractuel : ce délai passe d'un mois si l'avis d'attribution est publié à six mois en cas de défaut de publication. La publication de l'avis d'attribution devrait donc entrer dans les mœurs : il faudra désormais fournir aux candidats évincés les informations quant au candidat retenu, les motifs détaillés du rejet des autres offres ainsi que la durée de suspension de la signature du contrat (délai de standstill).
La procédure de référé contractuel a en effet pour objet de sanctionner les manquements graves aux obligations de publicité et de mise en concurrence. Dans ce cas, et sauf "raisons impérieuses d'intérêt général", le juge est désormais tenu de prononcer la nullité du contrat. Les acheteurs auront donc tout intérêt à améliorer encore leurs dispositifs de publicité, et à faire preuve, notamment auprès des candidats évincés, de pédagogie.

Le référé contractuel n'est pas un substitut au référé précontractuel
La directive élargit la palette des procédures contentieuses en complétant le référé précontractuel et en introduisant le référé contractuel. Ces deux procédures ne sont pas substituables. Si les contrats concernés ainsi que les personnes qui peuvent agir sont les mêmes, ce sont les seuls points communs à ces deux procédures.
En premier lieu, celui qui aura intenté un référé précontractuel ne pourra pas ensuite introduire un référé contractuel, sauf si la personne publique ne s'est pas conformée à l'ordonnance du juge des référés précontractuels ou qu'elle n'a pas respecté le caractère suspensif du référé précontractuel. Le référé contractuel n'est pas "une deuxième chance".
En second lieu, ces procédures ne répondent pas aux mêmes attentes. Dans le cadre du référé précontractuel, le juge a des pouvoirs plus étendus pour répondre aux différentes demandes du requérant, alors que dans le cadre du référé contractuel, le juge ne peut sanctionner que les manquements les plus graves aux obligations de publicité qui pèsent sur la personne publique. Le champ du référé contractuel est donc plus limité que celui du référé précontractuel, ce qui laisse supposer que le requérant n'utilisera le premier recours que s'il a tardé à agir et que le marché a déjà été signé.

Une directive à lire à la lumière de la jurisprudence du Conseil d'Etat
Enfin, la directive Recours ne fait pas obstacle à l'application des solutions jurisprudentielles développées  par le Conseil d'Etat. Ainsi, le référé précontractuel est toujours soumis à la condition de recevabilité posée par l'arrêt Smirgeomes du 3 octobre 2008 : l'irrégularité doit avoir lésé ou risque de léser le requérant. Pour introduire un référé précontractuel, il faut un intérêt à agir et un préjudice lié à la faute invoqué. En outre, l'introduction du référé contractuel ne retire pas d'intérêt à l'arrêt Tropic Travaux du 16 juillet 2007, dans lequel le Conseil d'Etat avait ouvert aux concurrents évincés la possibilité de former un recours de pleine juridiction après la signature du contrat.

L'Apasp


mardi 24 novembre 2009

Ingenico poursuit son développement dans le paiement mobile

ROAM Data permet à l'utilisateur de réaliser des transactions sur tout type de mobiles grâce à sa plateforme de paiement PCI-DSS, opérationnelle 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. ROAM Data cible le marché des professionnels et des très petits commerçants travaillant en situation de mobilité : vendeurs itinérants, plombiers, électriciens, mais aussi entreprises ayant un grand nombre de livreurs, d'installateurs ou de vendeurs directs.

Ingenico, leader mondial des systèmes de transactions et de paiements sécurisés, annonce une prise de participation dans ROAM Data, fournisseur américain d'applications mobiles hébergées, pour un montant de 6,5 millions de dollars.

Sa technologie brevetée fait de ROAM Data le seul acteur du marché capable de fournir de façon dynamique les applications professionnelles et de paiement dont l'utilisateur final pourra lui-même se servir sur son téléphone mobile, qu'il possède un smartphone - iPhone, BlackBerry, Windows Mobile, Symbian, Android - ou l'un des téléphones mobiles fonctionnant sous J2ME ou Brew que proposent actuellement notamment Nokia, Samsung, LG, Motorola, assure Ingenico.

C'est le second investissement réalisé dans le paiement mobile par Ingenico, après sa prise de participation dans Transfer To, société de services de paiement (PSP) basée à Singapour. Transfer To exploite un réseau mondial de recharge à distance de comptes prépayés reliant les utilisateurs des différents opérateurs de téléphonie mobile. Grâce à ce réseau, le travailleur migrant installé à l'étranger envoie par SMS le rechargement du compte prépayé d'un parent resté dans son pays d'origine. Cela permet également des transferts de faibles montants. Ainsi, 200 million de migrants transfèrent tous les ans 300 milliards de dollars dans leur pays d'origine.
Avec plus de 15 millions de terminaux en activité dans plus de 125 pays, Ingenico est un acteur majeur des solutions de paiement.



Source : http://semiconductor.vipress.net/?id=acahrftuai2311stnw

Android augmenté chez Bouygues Telecom


Basé sur la boussole du terminall’application réagit selon votre position géographique, elle combine laréalité augmentée et les informations des établissements, en prenant pleinement partie du matériel disponible sur les smartphones Android.
Trois modes disponibles selon l’orientation que vous donnez à votre terminal :
  • Verticale : Mode listing des catégories
  • Paysage : Mode caméra
  • Horizontale : Mode navigation GPS
Ici Info va vous permettre de trouver rapidement selon plusieurs catégories et en fonction de votre emplacement géographique, différentes informations des établissements disponibles de votre entourage.
Pour utiliser l’application vous aurez besoin de valider le « contrat de licence utilisateur« , autoriser l’application « Ici Info » à utiliser vos données de localisation et avoir activé le GPS dans les réglages duterminal.
ici-info-android-france-01ici-info-android-france-02ici-info-android-france-06
Voici la liste exhaustive des catégories disponibles :
  • Restauration
  • Bars, Cafés, Discothèques
  • Cinémas
  • Métro/RER/Tram
  • Bus
  • Trains, Transiliens
  • Vélos
  • Toilettes publiques
  • Hôtels
  • Pharmacies, Hôpitaux
  • Presse, Bureaux de tabac
  • Banques
  • Fleuristes
  • Taxis
  • Clubs Bouygues Telecom
  • Parking
  • Stations Services
Lors du premier lancement de l’application, un guide vous propose un didacticiel pas-à-pas vous détaillant les manipulations à effectuer pour utiliser l’application.
ici-info-android-france-03ici-info-android-france-04

Au lancement de l’application, vous tombez directement sur la liste des catégories, l’application limite la sélection de celle-ci à 4 maximums en même temps.
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Une fois sélectionnée il vous suffit de basculer le terminal à la verticale comme si vous vouliez prendre une photo.
L’application passe en mode caméra et vous propose en réalité augmentée les différents points d’informations trouvés selon votre lieu.
Dans notre test nous avions sélectionné la « Restauration » et l’application nous a affiché les différents restaurants dans un périmètre base sur notre position géographique, une fois que nous avons localisé un restaurant vous avez la possibilité de cliquer sur le cadre du restaurant.
ici-info-android-france-11
L’application vous affiche une fiche complète de l’établissement et vous propose 3 alternatives :
  • la première vous permet de visiter le site de l’établissement
  • la deuxième consiste a vous mettre en relation avec l’établissement en composant le numéro de téléphone de celui-ci
  • la troisième option fait basculer l’application en mode navigation GPS.
Les informations sont tirées des différents services disponibles sur Internet.
  • PagesJaunes
  • BeTomorrow
  • iTransports Mobile
  • Bouygues Telecom
Le tout positionné sur les cartes fournies par le célèbre site de cartographie Mappy.fr.
Une vidéo que nous avons réalisé pour que vous puissiez vous faire une rapide idée du fonctionnement de l’application arrivera plus tard dans la soirée.
Quelques points faibles que nous aurions aimé voir (peu être dans une prochain version) sur la notion deréseautage que nous pouvons dissocier en 3 parties :
  • Pouvoir donner ou consulter les avis sur une fiche d’un établissement
  • Pouvoir partager une fiche d’un établissement (via facebook, twitter, etc.)
  • Pouvoir ajouter une fiche directement en rendez-vous sur un agenda Google
L’application est disponible gratuitement sur Android-Market mais ne fonctionne que pour les clients Bouygues Telecom.
ici-info-android-france-10
Ici Info
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Même s’il est clair que la technologie employée n’est pas à mettre au crédit de Bouygues Telecom qui surf sur la vague de la réalité augmentée, on ne peut que constater l’effort mis sur la vulgarisation, la prise en main est quasi immédiate.

lundi 23 novembre 2009

CODE DES MARCHES PUBLICS Projets de seuils applicables au 1er janvier 2010



POUVOIRS ADJUDICATEURS


Fournitures et services :
- Etat : article 26 II 1° 125 000 €
- Collectivités territoriales : article 26 II 2°  193 000 €
- Fournitures domaine de la défense : article 26 II 3° 193 000 €
- Services Recherche et développement : article 26 II 4° 193 000 €
Travaux :
- Libre choix des procédures : article 26 II 5  < 4 845 000 €
- Appel d’offres (ou recours aux procédures des articles 35 à 38) : article 26 IV  > 4 845 000 €


ENTITES ADJUDICATRICES


Fournitures et services : article 144 III a) 387 000 €
Travaux : article 144 III a) 4 845 000 €

dimanche 22 novembre 2009

ENT will be soon 50! Sort of , PLATO (hi)story....

Quick: Jump back in time to 1974. In a Harvard dormitory, Bill Gates, future co-founder of Microsoft, is goofing off playing poker and pinball. Over in India, Steve Jobs, future co-founder of Apple, has shaved his head and is wandering around seeking enlightenment. Out in Hawaii, Steve Case, future co-founder and head of AOL Time Warner, is busy writing album reviews for his Honolulu high school newspaper. While these future billionaire CEOs of Internet-industry behemoths are busy enjoying their last teenage years, at a university town in Illinois the 'Net has already arrived. Indeed: it's in full swing! Out here in the middle of cornfield country, there's a rich, vibrant online community of teachers, professors, hackers, slackers, pranksters, and software and hardware engineers thriving on email, chat rooms, instant messaging, addictive multiplayer games, multimedia, news, movie reviews, and message forums on everything from art, science, and literature, to sex, drugs, and rock and roll. How can this be?
[Caption: On PLATO, everyone knew you were a dog.]

Welcome to PLATO.
The PLATO system, started way back in 1960, was developed as a technological solution to delivering individualized instruction, in thousands of subjects from algebra to zoology, to students in schools and universities across the nation. As the system grew and evolved, it became, pretty much by accident, the first major online community, in the current sense of the term. In the early 1970s, people lucky enough to be exposed to the system discovered it offered a radically new way of understanding what computers could be used for: computers weren't just about number-crunching (and delivering individualized instruction), they were aboutpeople connecting with people. For many PLATO people who came across PLATO in the 1970s, this was a mind-blowing concept.
PLATO was created at the University of of Illinois at Urbana-Champaign, and beginning in the mid-70s was marketed commercially by Control Data Corporation(now long gone, the last remnants being a part of the current Syntegra Corp.). PLATO as a branded product continues to this day, in an evolved form available from PLATO Learning, Inc. (now the owners of the registered trademark, "PLATO"). Other offshoots CDC PLATO include CYBIS® from UOL Publishing, Inc., which has evolved into VCampus, Inc.. And of course, there's NovaNET, the successor to CERL's PLATO at the University of Illinois, and now marketed byPearson Ed Tech. Interestingly, the great rivals PLATO (at least the CERL version that became NovaNET) and Computer Curriculum Corporation are finally under one roof -- Pearson's.
[Photo of: PLATO classroom, Willard Hall, Univ of Delaware]
Source : http://www.platopeople.com/index.html

RAPPELS : LA DÉMATÉRIALISATION DANS LES MARCHÉS PUBLICS

Le code des marchés publics a prévu un certain nombre d’obligations à échéance du
1er janvier 2010 en matière de dématérialisation des marchés publics.

I. La confirmation de l’échéance du 1er janvier 2010.
L’acheteur pourra imposer la transmission électronique des candidatures et des offres. Cette
disposition applicable au 1er janvier 2010 avait été introduite dans le code dès 2006 (article 56

II. De nouvelles obligations pour l’acheteur à compter du 1er janvier 2010
pour les marchés supérieurs à 90 000 euros (articles 40, 41 et 56 du code).
Le pouvoir adjudicateur doit publier l’avis d’appel public à la concurrence et les
documents de la consultation sur le profil d’acheteur (articles 40 et 41). Le profil
d’acheteur est un site, généralement appelée « plate-forme », accessible en ligne, par
l’intermédiaire du réseau internet, offrant toutes les fonctionnalités nécessaire à la
dématérialisation des procédures : au minimum, information des candidats et réception
des candidatures et des offres. Le site internet d’une collectivité ne peut être qualifié
de profil d’acheteur que s’il offre l’accès à ces fonctionnalités.
Pour les marchés informatiques, la transmission dématérialisée des candidatures et
des offres s’impose à l’acheteur et aux candidats (article 56 - II - 2°).

III. Rappel (article 56 I alinéa 4).
L’acheteur est obligé de recevoir les candidatures et les offres transmises par voie
dématérialisée pour les marchés formalisés depuis le 1er janvier 2005.

SEREZ-VOUS PRETS? Nous sommes prêts et pouvons vous aider à faire de même en deux semaines!

bruno.boutteau@gmail.com

vendredi 20 novembre 2009

Machine-generated automatic captions of the voice in video in YouTube

Since the original launch of captions in Google products, they have seen growth in the number of captioned videos on our services, which now number in the hundreds of thousands. This suggests that more and more people are becoming aware of how useful captions can be. As we’ve explained in the past, captions not only help the deaf and hearing impaired, but withmachine translation, they also enable people around the world to access video content in any of 51 languages. Captions can also improve search and even enable users to jump to the exact parts of the videos they're looking for.

However, like everything YouTube does, captions face a tremendous challenge of scale. Every minute, 20 hours of video are uploaded. How can we expect every video owner to spend the time and effort necessary to add captions to their videos? Even with all of the captioning support already available on YouTube, the majority of user-generated video content online is still inaccessible to people like me.

To help address this challenge, we've combined Google's automatic speech recognition (ASR) technology with the YouTube caption system to offer automatic captions, or auto-caps for short. Auto-caps use the same voice recognition algorithms in Google Voice to automatically generate captions for video. The captions will not always be perfect (check out the video below for an amusing example), but even when they're off, they can still be helpful—and the technology will continue to improve with time.

In addition to automatic captions, we’re also launching automatic caption timing, or auto-timing, to make it significantly easier to create captions manually. With auto-timing, you no longer need to have special expertise to create your own captions in YouTube. All you need to do is create a simple text file with all the words in the video and we’ll use Google’s ASR technology to figure out when the words are spoken and create captions for your video. This should significantly lower the barriers for video owners who want to add captions, but who don’t have the time or resources to create professional caption tracks.

To learn more about how to use auto-caps and auto-timing, check out this short video and ourhelp center article:



http://www.youtube.com/watch?v=kTvHIDKLFqc


You should see both features available in English by the end of the week. For our initial launch, auto-caps are only visible on a handful of partner channels (list below*). Because auto-caps are not perfect, we want to make sure we get feedback from both viewers and video owners before we roll them out more broadly. Auto-timing, on the other hand, is rolling out globally for all English-language videos on YouTube. We hope to expand these features for other channels and languages in the future. Please send us your feedback to help make that happen.

Today I'm more hopeful than ever that we'll achieve our long-term goal of making videos universally accessible. Even with its flaws, I see the addition of automatic captioning as a huge step forward.

Partners for the initial launch of auto-caps: UC BerkeleyStanfordMITYaleUCLADuke,UCTVColumbiaPBSNational GeographicDemand MediaUNSW and most Google &YouTube channels



Source : http://googleblog.blogspot.com/2009/11/automatic-captions-in-youtube.html

jeudi 12 novembre 2009

Google scores in education

According to the newly-released 2009 Campus Computing survey statistics, 44% of colleges and universities have converted to a hosted student email solution, while another 37% are currently evaluating the move. Of those that have migrated, over half — 56% precisely — aregoing Google.

Since this time last year we have seen lots of exciting growth for Google Apps Education Edition. We've rolled out more than 100 new featureslaunched free Google Message Security for K-12 schools, integrated with other learning services such as Blackboard and Moodle, and have reached well over six million students and faculty – a 400% increase since this time last year.


The Google Apps for Education team celebrated these big changes with Apps customers – including students – and conference attendees last week at EDUCAUSE, an important annual gathering for higher ed IT. Here are a few photos:



Read more about EDUCAUSE and our exciting year of change, and be sure to visitwww.google.com/appsatschool to learn more about how your school can go Google.

mercredi 11 novembre 2009

Why more governments has gone google?

It's not often in life that we can get more for less. But that's just what cloud computing is offering cash-strapped governments across the country: an opportunity to upgrade their dated infrastructure to state of the art, and save money in the process.

That was the appeal of Google Apps to Conrad Cross, the CIO for the City of Orlando. Conrad is leading the migration of all 3,000 city employees from Lotus Notes/Domino to Google Apps, including the Police and Fire departments. Facing software license renewals, major upgrade costs, and a 12% reduction in staff, it was the right time for the City to consider other options. For half the cost of the alternative, Orlando is jumping onto Google's innovation curve and freeing up IT resources to focus on more important efforts. "The time was right," said Cross. "I'm delivering a better service with less resources, and that gets me ahead of the game." Just down Interstate-95, the 11th largest school district in the US, Palm Beach County, is also moving its more than 200,000 students, staff and other users to Apps.

The New Mexico Attorney General’s Office has a similar story. Its 120 attorneys and 200 full-time employees use Google Apps for email, archiving, and document management. After moving from Microsoft Exchange to Google Apps, the employees no longer need to delete mail or worry about backing up sensitive information. The data's instantly available whenever they want it and they're more productive.

Fast growing cities like Canton, Georgia are also benefiting from the cloud. Strained by escalating spam and endless server maintenance, Camille Wehs, the city's only IT staffer, moved all 165 employees to Apps. With additional reliability, disaster recovery, flexibility and anywhere access to information, she sleeps better for it.

Most recently, the Los Angeles City Council voted unanimously to move its 30,000 employees to Apps. 



Source : http://googleenterprise.blogspot.com/2009/11/governments-gone-google.html

Buy More Google Storage : more for less!


Google updated the pricing for the additional storage you can buy in Gmail and Picasa Web Albums: $0.25 per GB per year.


Storage
Price (per year)
20 GB
$5
80 GB
$20
200 GB
$50
400 GB
$100
1 TB
$256
2 TB
$512
4 TB
$1024
8 TB
$2048
16 TB
$4096


Source : http://googlesystem.blogspot.com/

mercredi 4 novembre 2009

All Swedish homes will have access to a 100 mbit/s broadband connection before 2020


The Swedish government is following in the footsteps of the Finns, as their IT-ministry is now promising that 90 percent of all Swedish homes will have access to a 100 mbit/s broadband connection before 2020.
According to Swedish IT-minister Åsa Torstensson it isn’t possible to function in the information society of today without a fast internet connection. You hear that? This is the information society, people!
The Swedish government is therefore launching a new broadbrand strategy, according to which there needs to be a set minimum level of broadband speed.
Today that minimum level is 20 kbit/s, which clearly isn’t anywhere near enough if you’re going to download lots and lots of movies.
Sweden is one of the more well connected countries in Europe and about 89 percent of the population have internet in their homes.

mardi 3 novembre 2009

ENT à la peine, Google Apps au soleil!


Alors que le taux d'utilisation des ENT reste faible, les établissements de formation qui ont recours aux services collaboratifs gratuits de Google Apps pour l'Education se multiplient et rencontrent un très vif succès auprès des élèves! Les premiers établissements français s'y sont mis en retard, mais il n'est trop tard pour bien faire... surtout quand cette valeur ajoutée coûte zéro! Par les temps qui courent cela est d'autant plus notable. Qui sera le prochain?
Imaginez les avantages d'une solution permettant à l'ensemble des membres de votre établissement (élèves, étudiants, personnel enseignant et non enseignant) de partager plus facilement des informations et leurs idées. Grâce aux outils gratuits de communication, de collaboration et de publication de Google Apps Édition Éducation, qui comprend notamment des comptes de messagerie reprenant le nom de domaine de votre établissement (par ex. étudiant@votre-établissement.fr), vous pouvez donner vie à vos rêves.
Sélectionnez les services et outils répondant à vos besoins, puis personnalisez-les avec le contenu de votre choix, ainsi que le logo et les couleurs de votre établissement. Vous gérez vos utilisateurs via un panneau de configuration en ligne ou au moyen d'API permettant d'intégrer Google Apps dans vos systèmes existants.
Mieux encore, l'hébergement étant assuré par Google, vous n'avez pas à vous préoccuper du téléchargement, de l'installation ni de la maintenance du matériel ou des logiciels. La mise en route de ces nouveaux outils est très simple et ne demande qu'une intervention minimale de votre service informatique.
Les premiers français sont : Groupe ESC Lille, Essec, Arts et Métiers, l’Externat Saint Honoré d’Eylau




Bruno Boutteau