Une nouvelle version du guide du bon usage des examens d'imagerie médicale sera disponible en janvier 2013, a annoncé la Société française de radiologie).
Il s'agit d'une refonte complète des recommandations et argumentaires du guide publié en 2005, qui avait été créé initialement pour répondre à une obligation réglementaire de radioprotection des patients et est devenu un référentiel de bonnes pratiques à l'usage des médecins amenés à demander ou à réaliser des examens d'imagerie médicale.
"Cette révision a mobilisé plus de 500 acteurs pendant trois ans", a indiqué le Pr Jean-Pierre Pruvo, secrétaire général de la SFR lors d'une conférence de presse.
L'imagerie par résonance magnétique (IRM), qui n'était pas toujours décrite dans le précédent document, du fait du retard français en équipement, est maintenant bien intégrée, notamment en imagerie cardiaque, même si la France n'est toujours qu'à 10 IRM par million d'habitants contre plus de 20 en Europe.
Le guide comprend 400 items, chacun représentant un symptôme ou une pathologie, avec les différentes méthodes d'imagerie proposées assorties d'un niveau d'indication, de commentaires et d'un niveau de dose pour les modalités délivrant des radiations ionisantes, a décrit le Pr Philippe Grenier (Pitié-Salpêtrière, Paris, AP-HP).
Le guide compte beaucoup de transferts du scanner vers l'IRM, une recommandation à suivre si les modalités disponibles le permettent, a-t-il noté faisant référence à la pénurie d'équipements en France. En pédiatrie, les indications du scanner ont fondu au profit des ultrasons et de l'IRM.
Le document pourra être utilisé comme référentiel dans le cadre de programmes d'évaluation des pratiques professionnelles, voire de programmes de développement professionnel continu (DPC). Il peut aussi servir pour la formation des jeunes médecins.
Source : TICsanté
"Cette révision a mobilisé plus de 500 acteurs pendant trois ans", a indiqué le Pr Jean-Pierre Pruvo, secrétaire général de la SFR lors d'une conférence de presse.
L'imagerie par résonance magnétique (IRM), qui n'était pas toujours décrite dans le précédent document, du fait du retard français en équipement, est maintenant bien intégrée, notamment en imagerie cardiaque, même si la France n'est toujours qu'à 10 IRM par million d'habitants contre plus de 20 en Europe.
Le guide comprend 400 items, chacun représentant un symptôme ou une pathologie, avec les différentes méthodes d'imagerie proposées assorties d'un niveau d'indication, de commentaires et d'un niveau de dose pour les modalités délivrant des radiations ionisantes, a décrit le Pr Philippe Grenier (Pitié-Salpêtrière, Paris, AP-HP).
Le guide compte beaucoup de transferts du scanner vers l'IRM, une recommandation à suivre si les modalités disponibles le permettent, a-t-il noté faisant référence à la pénurie d'équipements en France. En pédiatrie, les indications du scanner ont fondu au profit des ultrasons et de l'IRM.
Le document pourra être utilisé comme référentiel dans le cadre de programmes d'évaluation des pratiques professionnelles, voire de programmes de développement professionnel continu (DPC). Il peut aussi servir pour la formation des jeunes médecins.
Source : TICsanté
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